Rien d'autre qu'un "Voyeur" {PV : Ren]

Mon attaque à Konoha Gakure no Sato me déçue, je ne me suis pas vraiment amusé à cette petite fête. C'était idiot à s'endormir, quel monde idiot, ils se prennent pour des immenses gardiens de leur village et lorsque qu'un Nukenin de mon rang, même si je n'aime pas être nommé comme cela, je préfère de loin mon bon vieux surnom de Sennin, et ils ne foutent rien... Ennuyant à en crever même si je ne suis mort, j'y étais presque. Attendez, je viens d'apprendre un truc énorme, excusez-moi, je voulais dire : Une Très Perturbante Nouvelle. Bref, cette nouvelle m'annonçait que Suna Gakure no Sato se faisait attaquer par la Lune Rouge, je suis tellement bon que j'avais mes propres informateurs et, même si ils avaient tous peurs de moi, restaient très bons. Dès lors que je viens à apprendre cette nouvelle, je me mis en tête d'aller à Suna pour les rencontrer, j'étais tellement excité. Si intéressé par cela, je ne mis qu'une simple et courte journée entre Suna Gakure no Sato et son voisin Konoha Gakure no Sato, mais à ce qu'on racontait, le record était de 22 heures et 13 minutes introduit dans l'art par un certain "Mato Gui" ou un truc du genre, je me souvenais pas très bien, je suis pas trop "mémoire" comme vous pouvez le constater. Je suis enfin parvenu à Suna, en son intérieur, il semblait y avoir une sacrée engueulade à l'intérieur de cette ville, même la garde externe de Suna n'était pas présente, ce qui m'arrangeait vaguement, grâce à cela, je pu franchir les remparts de Suna en faisant des petits bonds joyeux. Le Centre Ville était la zone la plus bouillante et donc, j'en conclus que le lieu où se déroulait cette bataille n'était autre que ce centre ville alors, instinctivement, je me dirigeai donc le plus près possible de la zone mais en faisant en sorte qu'ils ne me voient pas. Yes, excusez-moi, oui, enfin je réussi à me faire une place de spectateur dans ce combat acharné mais personne ne me voyait, j'en ressenti même quelques humeurs de supériorité envers-eux. Je n'étais qu'à une trentaine de mètre d'eux mais grâce à mes pupilles hautement développées, je les voyais très distinctivement se battre comme de simples ninjas, sur le coup, j'avais envie de leur mettre une leçon car ils ne méritaient pas d'être à l'Akatsuki. Enfin, je pu reconnaître le visage du nouveau Kazekage, je ne sais le nombre qui lui était attribué mais avec tous les Kazekage du moment, bizarrement, je ressentais une émotion différente aux autres lorsque je l'observai et très rapidement, j'activais mes si puissants Hitomi Kingin qui allèrent percer tous les combattants qui se trouvaient dans la zone de combat et dont j'étais très loin. Personne ne me voyait et cela me faisait plaisir, mais bizarrement, le Kage vint à perturber ce sentiment de supériorité : Il m'avait vu ! Tout en le regardant dans les yeux, je me mis à penser.

*Comment ose-t'il perturber mon si précieux sentiment!? Mais du moment que c'est le seul... Les autres n'ont pas le niveau pour me voir...*

Rien d'autre qu'un "Voyeur" {PV : Ren] Yeuxde10

Rien d'autre qu'un "Voyeur" {PV : Ren] Yeuxde10

Je n'étais qu'assis sur l'un des simples toits qui parcouraient le village du sable mais suffisamment masqué par divers objets et monuments sans trop d'importance, enfin, pour moi. Avec ce temps qui m'était donné, je vins à m'observer quelques secondes. J'avais sur moi, haut noir, un tee-shirt rouge en-dessous, mon bas est aussi noir, presque toute ma tenue était lourde et résistante aux attaques de bases, ma tenue est en un peu comme une sorte de protection pour perdre moins de dégâts physiquement et aussi pour effectuer un entraînement physique quotidien. Tiens, aussi, je porte des poids noirs à chaque poignets, qui pèsent environs 10 kilos chacun. Ceci me permet de rester en bonne condition physique pour un prochain combat et aussi pour l'entraînement physique quotidien. Autour ma taille, je porte une ceinture rouge qui me permet de serrer ma tenue, mais aussi d'y mettre mon katana. Aussi appelé "Sabre Japonais", le katana est une arme mortel. La dénomination sabre japonais, traduction de nihontô, décrit l'ensemble des armes blanches fabriquée selon une technique japonaise particulière. Ainsi, cette appellation comprend le très célèbre katana, mais aussi le tachi, le wakizashi, le tantō, les épées montées sur manche long tels que le naginata, le nagamaki et enfin, les pointes de lances comme le yari. Cette technique, unique aux forgerons japonais, confère aux lames un équilibre certain entre leurs propriétés de souplesse et leur capacité de coupe. De plus, cette méthode de fabrication donne aux lames un aspect esthétique particulièrement développé. Bien que le sabre japonais fut créé pour une utilisation guerrière, il est actuellement reconnu comme une œuvre d'art à part entière. Mon katana... Il n'a pas de pouvoir spécial, une simple arme de mort. Le tissu du manche est noir et la tsuka en elle-même l'est aussi, la Tsuba de métal est rond possédant deux couleur, le blanc et le noir, sous la forme du Ying et du Yang. La tsuba (ou garde) est certainement la deuxième chose que l'on remarque après la lame. C'est une plaque de métal situé à la base de la lame dont la forme, l'épaisseur, les dimensions et le motif dépendent de l'école et de la demande du client. La tsuba n'avait à l'origine qu'un but défensif : protéger les mains du pratiquant, ainsi qu'éviter que les mains puissent glisser de la poignée (tsuka) vers la lame. Elles n'étaient donc, au départ, qu'un simple cercle de métal nu. Cependant, avec le temps, la garde est devenue un symbole montrant son niveau social. On commença donc a forger des tsuba à l'esthétique bien plus travaillée. On distingue les tsubas en fonction de leur forme générale, ronde, carrée, hexagonale, rectangulaire, etc... Bien entendu, mon katana n'était pas à nu, ce que portait réellement ma ceinture était son Saya. Le saya est l'étui de la lame, la protégeant des chocs et principalement de l'humidité. Le mien a été fabriqué par un Sayashi à partir du magnolia blanc, le bois doit être d'excellente qualité, sans défauts et sans nœuds, puis il fut laqué d'un noir magnifique. Par dessus tout mes vêtements, je me recouvrai d'une longue cape noir très lourde qui résistait grandement au choc et à la déchirure mais me ralentissait toujours un peu, cela me permettait cet entraînement si physique. Pour finir ma panoplie, il y avait ces bottes que je portai sans trop de fierté, bottes de combat, très pratiques, mais elles sont assez lourdes, car elles pèsent environs 20 kg chacune. Mon entraînement était donc au niveau de mon rang car si celui qu'on surnomme "Ermite aux Illusions" n'est pas digne, cela ma conduirait à ma mort ou à mon humiliation.

- Ce combat m'a l'air plus qu'intéressant... De plus, le Kazekage ne semble pas trop porter attention à moi... C'est vrai qu'avec deux hommes de l'Akatsuki, moi non-plus je ne me soucis pas d'un "voyeur".